Entreprise de mécanique industrielle, usinage, constructions spéciales dans le département Gironde (33) - page 1

Liste des sociétés ayant pour activité "Entreprise de mécanique industrielle, usinage, constructions spéciales" dans le département Gironde (33) - page 1

AGUILA MECANIQUE

33650 MARTILLAC

DIMECA

33290 BLANQUEFORT

BERNARD COURET

33640 PORTETS

SARL PETTES

33160 SAINT-MEDARD-EN-JALLES

PROTECHNI

33440 SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND

ABAQUE INDUSTRIE

33290 BLANQUEFORT

ETABLISSEMEMNTS DOS SANTOS

33260 LA TESTE-DE-BUCH

JACKY PETURAUD

33490 SAINT PIERRE D'AURILLAC

BICHON FRERES

33160 SAINT-MEDARD-EN-JALLES

MOTEUR CENTER SARL

33360 LATRESNE

MECA2M - MECANIQUE MANUFACTURE MENTALDEA

33640 AYGUEMORTE-LES-GRAVES

FMPB AQUITAINE

33450 SAINT-LOUBES

GARNIER INDUSTRIE

33650 SAINT MEDARD D'EYRANS

ROVIRA FRERES SARL

33620 LAPOUYADE

MICRO-SUD

33700 MERIGNAC

ROUX MECANIQUE GENERALE DE PRECISION

33160 SAINT-AUBIN-DE-MEDOC

CHRISTOPHE GIRARD

33520 BRUGES

SYMA

33185 LE HAILLAN

FABIO GUENON

33114 LE BARP

CAROMAR TECHNO

33000 BORDEAUX

GA AUTOMOBILE33

33240 VIRSAC

TINTINGER INDUSTRIE

33190 LA REOLE

USIREP

33760 TARGON

SN SECOM INDUSTRIES

33000 BORDEAUX

PATRICK SAUVEAU

33540 COIRAC

EL GHAZI

33130 BEGLES

ERIC UYTTERSPROT

33114 LE BARP

SARL R.M.A.T.P

33990 HOURTIN

FLORIAN COQUELLE

33880 CAMBES

ADRIEN BOYER

33460 LAMARQUE

YANN TRIMOLET

33500 LIBOURNE

FREDERIC DESCHAMPS

33240 SAINT-ANDRE-DE-CUBZAC

AQ'UP

33700 MERIGNAC

MPMB

33240 VIRSAC

SEBASTIEN TROCHERIE

33860 REIGNAC

ANTOINE FOURAGNAN

33380 BIGANOS

PIVER

33540 BLASIMON

NICOLAS PETIT

33650 SAINT-MEDARD-D'EYRANS

MGE GIRONDE

33710 BOURG

CIM

33670 SADIRAC

ION SON

33100 BORDEAUX

BRUNO IVRY

33560 CARBON-BLANC

JEAN-OLIVIER VALEZE

33240 CUBZAC-LES-PONTS

SOBOFA

33380 MIOS

JV MECHANICS

33320 EYSINES

HERVE PERCHE

33350 SAINT-PHILIPPE-D'AIGUILLE

DANIEL DORADO

33700 MERIGNAC

SOTOMECA

33430 BAZAS

GAUDILLIERE

33770 SALLES

WALTER INDUSTRIES

33124 BROUQUEYRAN
logo

DELOBEL INDUSTRY

33770 SALLES
Usinage et Chaudronnerie spécialisées dans la grande dimension

SOCIETE LAYGUE ET FILS

33650 MARTILLAC

JEAN FAUCHE

33000 BORDEAUX

ATELIER BATS

33440 AMBARES-ET-LAGRAVE

ABF MECANIQUE

33430 BAZAS

PE MECA

33160 SALAUNES

EURL PAVIN

33750 BEYCHAC-ET-CAILLAU

MECA PROCESS

33170 GRADIGNAN

MB RECTIF

33210 LANGON

HYDRAU MEDOC

33460 CUSSAC-FORT-MEDOC

ERIC MOEYAERT

33830 LUGOS

ALPHA-MECA

33380 BIGANOS

LUTEC

33610 CESTAS

GAUTHIER CAVALIN

33710 SAINT-SEURIN-DE-BOURG

ADMP

33230 COUTRAS

DG MECA

33170 GRADIGNAN

MGP33

33610 CESTAS
Exportez votre liste d'entreprises

En savoir plus

Avec une ville au passé industriel aussi riche que Bordeaux pour chef-lieu, nul ne sera surpris d’apprendre que le département de la Gironde continue aujourd’hui encore d’abriter de nombreuses entreprises de mécanique de précision, de la TPE au grand groupe multinational. Les pièces mécaniques fabriquées en Gironde sont synonyme d’excellence à la française mais aussi d’innovation. Dans le département Gironde, on compte 114 entreprise(s) pour l'activité Entreprise de mécanique industrielle, usinage, constructions spéciales. A titre de comparaison, on compte 7 762 entreprises au total en France qui évoluent dans cette même activité.

Des petites pièces mécaniques mais de grands rôles

La mécanique industrielle (code NAF : 25.62B) englobe la production de pièces mécaniques diverses, que ce soit par enlèvement de matière (alésage, fraisage, tournage, perçage, sciage, etc.), ou par assemblage (soudage, collage), sans oublier la reconstruction de moteurs thermiques au travers du réalésage.

La capacité d’innovation est un facteur-clé de succès pour la compétitivité des entreprises du secteur, en particulier face à une concurrence accrue sur le terrain du prix. Effet collatéral positif et non-négligeable, des efforts en matière de R&D sont faits pour économiser les matières premières permettant une diminution de l’impact environnemental du secteur.

L’innovation « imbricative » chez Mecachrome a entraîné une baisse de 30% des coûts de production et une réduction significative des déchets. Cette entreprise a son siège en Indre-et-Loire qui, tout comme la Gironde, est un acteur important dans le secteur de la mécanique industrielle, de l'usinage et des constructions spéciales.

Située en amont de la chaîne de valeur, la mécanique industrielle permet en effet la transformation de matières premières en pièces qui serviront à des sous-ensembles aux fonctions primordiales dans des domaines tels que l’aéronautique, l’automobile, la robotique, ou bien encore certains pans de la pharmaceutique.

Ainsi, en Gironde, le développement de plusieurs secteurs économiques d’importance stratégique dépend de la santé de la mécanique industrielle, de l’usinage et des constructions spéciales.

La Gironde, un bassin d’industries d’excellence

Si l’agglomération bordelaise abrite près de 30 000 emplois – directs et de sous-traitance – liés au secteur de l’aéronautique, du spatial et de la défense, ce n’est aucunement le fait du hasard, le département de la Gironde se trouvant lui-même au cœur de l’Aerospace Valley.

On trouve ainsi une présence forte de grands groupes, tels que Safran, Mecachrome, ArianeGroup, ou Figeac Aero, mais aussi de petites entreprises très spécialisées, comme AMB, Garnier Industrie qui sont devenus des fournisseurs-clés pour Airbus ou Dassault.

Bien sûr, le secteur de la mécanique industrielle en Gironde a souffert de la crise de 2008, les carnets de commandes fondant alors comme neige au soleil, mais il en a été de même dans tout l’Hexagone, et bien au-delà également. Cela a également été le cas en Haute-Savoie qui est le premier bassin d'emplois français pour le secteur du décolletage.

Et les acteurs locaux ont su faire le dos rond en attendant le retour des jours meilleurs. Ainsi, grâce à la conservation de leurs savoir-faire et à l’automatisation poussée de leurs outils de production, la reprise économique a été synonyme de croissance soutenue immédiate.

Certains groupes, tels que Figeac Aero, prévoient même une multiplication par trois de leur CA entre 2017 et 2020, et cet exemple est tout sauf isolé.

Cette dépendance directe et forte à la bonne santé des carnets de commande rend fluctuante le niveau d’activité global du secteur, qui n’en reste pas moins un maillon essentiel du tissu économique du département.

Le marché de l’emploi en Gironde pour la mécanique industrielle se révèle plus flexible que dans d’autres départements, ce qui permet de trouver plus facilement – ou plutôt moins difficilement – l’équilibre entre l’offre et la demande. Mais l’alternance de périodes fastes, avec des cadences de travail fortes, et de baisse d’activité, demeurent inévitables en fonction des cycles économiques mondiaux.

L’innovation et la robotisation, pourvoyeuses ou faucheuses d’emplois ?

La recherche et le développement sont les clés pour permettre aux entreprises françaises – et donc girondines – du secteur de la mécanique industrielle de retrouver une compétitivité dont elles ont besoin pour lutter contre le phénomène de désindustrialisation. Pour entrer un peu plus dans le détail, et outre l’essor de l’impression 3D – qui n’est plus uniquement l’apanage des grands groupes – il est nécessaire de mentionner la numérisation du secteur, l’interopérabilité, la transparence et la décentralisation.

Tous ces éléments constituent les principes de l’Industrie 4.0, dans laquelle les entreprises de mécanique industrielle investissent de plus en plus. Au-delà de la suppression des silos internes qui s’observe d’ores et déjà, l’objectif est d’implémenter une continuité numérique sur l’ensemble de la chaîne de valeur. Cela est fait par l’intermédiaire du cloud, de manière à intégrer les données fournisseurs et clients/distributeurs en sécurité et de pouvoir ensuite les utiliser efficacement.

En matière d’organisation de la charge de travail, les notions de lean (engineering, management et manufacturing) sont pour la plupart déployées ou a minima en cours de déploiement, mais se profile à présent à l’horizon la problématique de la robotisation. Que cette dernière autorise des gains de productivité conséquents ne fait pour ainsi dire pas débat, mais il en va tout autrement de ses conséquences en matière de ressources humaines.

De fait, l’usine du futur abritera davantage de machines totalement automatisées, ainsi que de nouveaux emplois liés à cette évolution pour contrôler – et, si besoin, dépanner – les robots de nouvelle génération. Toutefois, d’autres emplois seront amenés à disparaître – ou à être transféré vers des pays « low-cost » – et à ce jour, nul ne peut prédire quel sera le solde final. La robotisation peut permettre le maintien d’une certaine excellence à la française en mécanique industrielle en Gironde, et l’émergence de nouveaux emplois, ce qui mérite d’être souligné.

Les données clés de l'activité "Entreprise de mécanique industrielle, usinage, constructions spéciales" dans le département Gironde (33)

Nombre total d'entreprises
114
entreprises
Répartition par taille d'entreprises
Nombre de créations au cours des 6 derniers mois
Parité Homme/Femme

Ça pourrait vous intéresser

Des analyses

Ces analyses pourraient retenir votre attention